vendredi 22 novembre 2013

52-dans un monde imaginaire

01OC2013

Cela vient d'un couplet que j'ai composé sur la guitare il y a belle lurette. J'avais juste 2 vers à l'époque.

Dans un monde imaginaire

Je rêve tout en étant réveillé.
Ce que je vois est étrange.
Étrange à notre logique.
C'est mon monde.

Je suis dans un monde imaginaire.
Peuplé de créature, d'invention.
Ici, c'est mon monde.

Rien n'est ordonné, tout est désordonné.
Enchevêtrement d'idée qui permettre au cerveau
de mélanger des oppositions, des contradictions.
Pour créer de nouvelles philosophies.

Ici, c'est un monde imaginaire.
Où la nouveauté est maître.
Où la stagnation est proscrite

Dans un mode imaginaire.
Il faut créer.
Il faut renouveler.
Il faut inventer sans cesse.

Avoir un esprit enfantin.
Ne pas se laisser diriger pas des dogmes
par des préconçus.

Dans un monde imaginaire, il faut imaginer



GD

jeudi 21 novembre 2013

50-montreal c'est ma ville

28SE2013

suite le 21NO2013

Montréal, c'est ma ville


J'aime cette ville.
Cette diversité.
Cette hétérogénéité.
Ici, tout peut arriver.
Ici, tout peut être observé

Divers quartier,
diverse réalité.
Du plus spectaculaire,
au plus traditionnel,
au plus religieux,
au plus anglais,
au plus vieux.

Le tout surplombé par une montagne.
Maître incontesté de la ville.
Cette montagne musicale et dansante,
est un lieu de quiétude, de rassemblement.
Un dernier contact avec Gaïa.

Il y a d'autre Gaïa dans cette ville.
Le jardin beau et ta nique,
le parc des fontaines,
celui du jar qui ri
Celui de l'ange qui grogne.
C'est vert de gris.

Après réflexion,
Gaïa est par tout,
dans chaque rue
dans chaque ruelle.
Elle est belle.

Mais Montréal c'est plus.
C'est multicolore
Du punk au drapeau arc-en-ciel
Du vert de la montagne au gris de la ville
Montréal est mélangé.


Après la couleur,
arrive la noirceur de la vie nocturne.
Là tout s'emballe. Tout s'amplifie.
Chicane, monde crasse, lycanthrope
font un mélange hétérogène.
Bière, frite et bus de nuit
ferme boutique.

J'aime cette diversité propre au grande ville.
Quel contraste avec cette banlieue si propre.
Son nom propre : Montréal métropole.



GD


21NOL2013

petit poème pour une amie


Encore une séparation

Il faut penser à soi.
Il faut penser à toi.
Il faut penser au moi.

Fait de l'art.
Faisant beaucoup! C'est exutoire.
Fait du sport!
Faisant plus si tu peux! C'est exutoire.

Pense, pense comme tu n'as jamais pensé.
Court, court comme une déchaînée
Change, change comme tu n'as jamais changé.

C'est le moment. C'est ta chance. C'est obligatoire.

Pour guérir, pour devenir meilleur, pour ton âme.

GD
49-Ce que j'ai appris-v1


13SE2013



Ce que j'ai appris

Mon voyage était exutoire.
Mais il n'a pas été seulement exutoire.
Il a été formateur, révélateur.

J'ai appris des choses simples de la vie.
Des choses que j'avais passé à coté.
Des oublis, quoi!

Je suis arrivé l'âme en peine.
Je suis partir l'âme en peine,
mais amélioré.
Cela ma transformé.

Je suis arrivé fils unique.
Je suis parti l'aîné d'une grosse famille.
Ce que j'ai appris c'est l'humain,
l'entraide, la participation.

J'ai même réappris la routine.
J'ai même réappris le plaisir de participer,
de faire la bouffe, de ranger, d'aider,
de prendre soin des autres, de prendre soin de sa conjointe, d'aimer.
Ce que j'ai appris, me servira à être meilleur.
À ne plus vivre le malheur d'une séparation.
Il m'a appris à être un meilleur conjoint.

Je vous remercie.
Vous n'avez rien fait.
J'ai redécouvert par moi-même.
Mais merci



GD
48-une simple danse-v2

13SE2013


Une simple danse

C'est étrange,
d'un monde à l'autre,
les mœurs sont différentes

Dans ma vie en Belgique,
je n'ai pas su danser.
Je n'ai pas invité.
Je ne sais pas dansé.

Dans ma vie réelle.
J'ai essayé.
J'étais joyeux.
J'étais respectueux, mais saoul.

Dans ma vie réel,
j'ai invité à danser.
J'ai perçu une gène.
Je trouvais ça correct.

Dans leur vie,
c'était déplacé,
c'était de trop,
c'était interdit.

On ma chassé
comme un voleur.
Moi, je voulais juste danser.
Danser avec une belle fille.
Sans malaise, sans malice.
Je voulais danser.
Mais au Québec, c'est interdit.



GD

mardi 12 novembre 2013

Cela termine une séquence de poème trouvée sur de vieille feuille mobile. Les textes dates d'environ l'année 1996. Plusieurs ne sont pas vraiment travaillé ou terminé, mais cela fait partie de mes textes. Bon, pas bon, je publie

merci

GD
O-Jouer Prudemment-v1

01AL1996 (année?)

C'est des paroles de musique. Pas très bon, mais pourquoi pas.

Jouer prudemment Hé!

J'suis Castror, un robot.
Moi je peux remettre mon bras.
Vous pas.

Jouer, jouer, jouer, jouer
Prudemment
Jouer, jouer, jouer, jouer
Prudemment.

Si non, ton bras s'ra coupé.
Si non, tu aura un beau moignon.
Si non , t'en n'aura plus.

Joue par là.
Joue par si.
Joue pas là.
Joue pas l'sol
hein? Pas rapport.

Les handicapés de guerre,
vont te poser une belle prothèse,
qui va te faire à merveille.
Mais ne te redonnera pas ton bras;
imbécile.
Ce n'est qu'un simple artifice.
Une simple béquille.
Qui te fera couler dans l’abîme.
De la honte et du mépris, tu aura.

GD


N-La surfemme-v1

30 SE 1996 (année approximative)

Je devais avoir une petite frustration au niveau des femmes. Cela fait longtemps.

La surfemme


Fléau de société d'homme.
La surfemme domine.
Par sa présence divine,
elle s'accapare de notre âme.

Nous, pauvre crétin,
guidé par notre cœur,
subissons cette horreur.
Sans réflexion et sans peur,
nous respectons leur dessin.

Douce revenge ou illogisme.
L'égalité s’enfuit.
Par conditionnement de l'esprit,
notre triste sort en est ainsi.
Une seul évidence; le féminisme.

Où à t-on manqué?
Nous, génération nouvelle,
qui n'avons pas écouté machiavel.
Payons le prix exponentiel (réel)
Pur taxes, pur impôt.
Décentralisé, décervelé.

Le pouvoir monte à la tête.
Détruit de ce fait le raisonnement.
Nous dénigre effrontément.
Sans preuve et sans fondement,
elles sont inconscientes

GD


M-kebek-v1

encore 1996 sur une feuille mobile.


Kébek

Nous venons de la résistance.
D'la résistance au attaque.
Ô manigance politique
Ô monarchie anglicane.

Soyons fière de nos racines.
Nous peuple guerrier.
Mélange de deux nations.

Continuons la résistance.
Un jour, nous formerons un peuple;
unifier et puissant.
Qui régnera sur l’Amérique et sur le monde.
Notre pouvoir vient d'une énergie potentielle;
L'énergie hydroélectrique.
Des millions de kilowatts
qui bombarderont vos transistors.
Cette richesse naturel,
nous sera éternelle.


GD


dimanche 10 novembre 2013

L-parenfer-v1

environ 1996


Parenfer

Ceux qui ne vont pas au paradis;
vont en enfer.
Il n'y a pas de juste milieu;
c'est un choix à faire.
La vie après la mort c'est long
Peut-être même plus long que la vie terrestre,
alors il faut faire le bon choix.

L'écart entre les deux mondes est faible
La vie, la mort;
repose sur un simple organe physique et fragile.

Il faut choisir sa voie.
Eux qui sont neutres, vont aller dans
l'un ou dans l'autre.
Pour la plus part, les profondeurs l'emportera.

Soyons bon ou soyons mauvais.
Il faut choisir, choisir sont camps.

Les êtres maléfiques seront bien au chaud (feu).
Les êtres angéliques seront bien dans leur ouate.

Vivre dans la chaleur, l'aventure, la jouissance, la souffrance.
Voici le pain quotidien de l'enfer.

Vivre dans le confort, la stabilité, la monotonie,
voici le pain quotidien du paradis.

Chaque option comporte ces avantages; ces désavantages.
Il faut choisir entre le moins pire.
Selon nos valeurs, celui-ci change.
Il n'y a pas d’intermédiaire à part sur la terre.





GD
K-petit feu va loin-v1

1996 Je n'ai pas de date sur la feuille, mais c'est environ en 1996


Petit feu va loin

Tout commence par une étincelle.
Un geste innocent et sans intention.
Un petit feu de camps, sans sentinelle
Énergie potentielle, bombe en latence.

Soudain, elle s'échappe
Soudain, elle dévaste
Le hasard à fait son choix;
choix irréversible.

Une feuille morte s'enflamme,
créant une cascade de réaction.
La nature se déchaîne;
le tout s'emballe.
D'un début contrôlable,
tout devient vite apocalyptique.

Le feu, une force physique;
un phénomène puissant.
Dévaste tout sur son passage;
rien n'est épargné.

La nature se consume.
Gaz carbonique et cendre
sont les restes de son action.

Quand le feu est déchaîné, rien de l'arrête.
Sauf peut-être, une intervention divine.
Une averse pour en finir.


GD

samedi 9 novembre 2013


09NO2013

Petite pensée que j'ai eu hier.




C'est l'apocalypse.
C'est la fin du monde,
de mon monde.

Comme un phénix,
Je dois renaître de mes cendres.






GD