dimanche 27 octobre 2013

47-la derive de l'homme-v2

13SE2013

La dérive de l'homme

Je suis un homme à la dérive,
sans attache.

Libre,
libre monétaire,
libre de temps,
libre de cœur.

Je suis un homme qui déambule.
Qui ce laisse porter par la vie.
Qui ce laisse porter par la vague.
Sans résister, je vogue.
Où cela va t-il me conduire?
Où vais-je échouer?

Je dérive dans mon continent,
dans mon pays, dans ma province,
dans ma ville, dans ma tête.

Je cherche une borne pour m'attacher,
pour me retenir,
pour ne pas couler.

Cette liberté vaut une fortune,
mais elle est dangereuse, pernicieuse.
Je peux m'égarer, me perdre à jamais,
dans cette infinité de possibilité.

La dérive de l'homme est comme celle des continents.
Elle crée des fissures, des collisions,
des effondrement.
Elle est instable.
Il doit y avoir des balises, des limites,
pour la contrôler et non pour l'empêcher.
L'inconnu doit être découvert.
Le connu doit être respecté.



GD
46-ma foret-v2

13SE2013

Quand j'ai acheté ma grange, il n'y avait presque aucun arbre sur le terrain. La grange est situé à St-Ours dans la vallée du Richelieu où le maïs est roi. Les arbres sont un ennemi qu'il faut couper. Dès la première année, j'ai planté et planté.


Ma forêt

J'avais une vision,
une illumination,
une vision du terrain,
du terrain futur.

Mon esprit était visionnaire.
D'un terrain dénudé,
Il voyait une forêt.
D'une terrain vierge,
il voyait l'intimité.

Le temps jouait contre moi.
Il fallait réagir vite.
Il fallait planter,
planter la vie.

Sur un terrain vague,
j'ai planté, j'ai ceinturé.
Sur un terrain sans arbre,
J'ai planté des arbres, des arbustes.
J'ai planté une forêt.

Après 5 ans, j'entrevois ma forêt.
Une forêt en santé.
Une forêt diversifiée.
Un belle forêt.

Il faut encore avoir une vision.
Mais cela commence à être tangible, visible.
Ma forêt pousse et pousse de plus en plus vite.
Ma forêt est vrai, observable, possible..

Quelle malheur!
Je ne la verrai pas.
Je ne la posséderai pas.
C’est trop tard,
elle n’est déjà plus à moi.

Je t'aime ma forêt.
Je t'ai imaginé
Je t'ai créé
Tu dois continuer seule.


GD
45-manque de respect-v2

13SE2013


Manque de respect

C'était simple.
J'avais été claire.
Il me semble?

Je ne veux pas le voir,
ni de loin,
ni de proche.

C'était simple.
C'était claire.
C'était facile.

Il a fallu que je le vois.
De loin, de passage.
Il a fallu que je l’aperçoive.

Dans mon char.
Dans mon banc.
Près de chez mes parents.

Horreur Extrême.
C'est un manque de respect.
C’est une grande déception.

Tu me déçois.
Tu ne me respecte pas.
Tu t'en crisse.

J'ai pété ma coche.
C'est un choc dans mon cerveau.
Un choc dans ma guérison.
Cela à provoqué un recule.
Un flot d'émotion.
Un flot de larme.

J'aurai pus tombé,
me fracasser.
Mais, j'ai décidé de me métalliser,
de me dépenser.

Par magie, je me suis retrouvé à Montréal.
En bicyclette, sans rien.
Juste moi et mon malheur.

Mon malheur fut noyé..
En compagnie de mon chum,
en compagnie d'art.

Depuis ce temps,
je suis triste.
Je suis mélangé.
C'est un retour en arrière.

C'était simple.
J'avais été claire.
Il me semble?

Ton manque de respect ma blessé.
Je suis donc malheureux.
Cependant, il y a un espoir, car j'ai rêvé.
C'est un exutoire onirique.
C'est pour oublier...
Oublier quoi?



GD
J-Une petite fille-v2

27 DE 1997

Je ne suis pas sur de la date. C'est peut-être le 1996 cela donnerais quelques jours après ma rencontre avec Marie-Claude. Sinon c'est un an après. Ce poème était avec un paquet d'autre feuille mobile dans une filière.

Une petite fille

Au quai de la mer,
une damoiselle.
Au près de la belle,
une hirondelle.
Un regard,un sourire
une petite fille.

Né de la chaleur hivernale.
Une flamme s'allume, se propage.
D'une discussion évasive,
une chaleur interne arrive au cœur.
D'une invitation grossière,
une chaleur externe m’envahit.
Des mains, des langues... une cigarette.

Sur un bout de papier, la griffe de sa main.
Seul moyen de communiquer.
Seul espérance de la revoir

Aller! Du courage, le téléphone résonne.
Aller! Du courage, invite-là.
Aller! Du courage, elle accepte.

Autour d'une bière,
elle prend forme.
Autour d'une table,
elle se concrétise.
Cette amour si longtemps attendu.
Cette amour si rechercher.

Cette petit fille,
me regarde,
me questionne,
me sourit.

Elle m'habite.
Son pouvoir m’envahit.
Je suis conquis.


GD

mardi 15 octobre 2013

I-songe du lendemain-v1

été 1993

Dans le cadre du cours de français lecture et écriture, il fallait partir d'un poème en alexandrin et en faire un poème surréaliste.

Songe du lendemain

Dans la nuit éclairée,
Le sommeil s'éveil.
Tout d'embrouille comme une pluie d'automne.
Suis-je éveillé ou endormi?

Lumière, rivière et bière s'amalgame pour devenir chanson.
Le monde de l'enfer à tête ouvertes s'accélère.
Mon nom se répercute sur mon esprit concave.
La solution, la rêverie active.
Mon fou s’échappe pschhh!

Buzzer, bazar, bizarre s’esclaffent.
Ouvert, fermé, ouvert, mes yeux sont indécis.
Le jour succombe à la nuit.



GD
H-songe de la veille-v1

été 1993

Fait dans le cadre du cours de français lecture et écriture. C'est en alexandrin.


Songe de la veille

Le soleil s'éloigne, la noirceur prédomine.
Ma cervelle se vide et devient lunatique.
Le silence m'envahit, mas tête rumine.
Où suis-je? Où vais-je dans ce chemin rustique?

Au bout de cette avenue enfin la lumière.
Les couleurs se mélangent et deviennent rivière.
J'hallucine une banane flottant dans l'air.
Que se passe t-il? Que m'arrive t-il? Calvaire!

Une bonne idée me passe à l'esprit, je rêve!
Hourra! Tout s'explique, je ne suis pas un fou.
J'en profite et je déambule comme un saoul.

Une fabuleuse sirène se déclenche.
J'ouvre mes yeux, il est six heures du matin.
La fatigue est trop forte, l'éveil se recouche.



GD
G-la mort blanche-v1

Été 1993

Dans le cadre d'un cours de français Lecture et écriture au Cegep, j'ai fait ce texte. Le professeur m'avait dit que j'avais un certain talent. C'est à cause de ce cours que j'écris;-)
C'est une nouvelle, elle est un peu courte. Mon professeur voulais que je l'allonge. Je vais peut-être le faire 20 ans plus tard;-). Il fallait partir d'un fait divers.


Mort blanche

J'entre dans un bar clandestin de la rue Mont-Royal. L'endroit est sombre et désordonné. Je jette un bref coup d’œil sur les clients. La personne que je dois rencontrer n'est pas encore arrivée. Je prend une bière et je m'assois dans un coin. Soudain, la porte s'ouvre et une dizaine de policiers envahissent le bar. Tabarnac, une descente! Pris de panique, je cours vers la toilette, je ferme la loquet, j'ouvre mon étui et j'engouffre quarante sachets de poudre blanche. Juste après, la porte vole en éclats et les flics me câlissent des coups de matraque, puis ils me passent les menottes.

On me met dans un fourgon de police. Neuf autres personnes sont avec moi. Il y a des alcooliques, des prostituées et des pushers. Durant le voyage, je me fais deux autres contacts pour avoir de la coke à bon marché. Tout en parlant avec mes nouveaux contacts, je supplie Dieu que les sachets ne s'ouvrent pas. Il faut que je les récupèrent, ça vaut dix milles piastres.

Rendu au poste, les maudits flics nous fouillent avec leur chien. Le chien se met à me sniffer et à grogner. A-t-il détecté les sachets? Je suis fait. Les cochons se mettent à me fouiller partout : dans les bas, dans les poches et vont jusqu'à l'examen rectal. Après un bon dix minutes, ils n'ont trouvé qu'un petit miroir et une paille. Ouf! J'ai eu peur.

Ils me mettent en tôle avec d'autres connards de mon espèce. Puis, tout à coup, je commence à avoir mal au ventre, et même très mal. LES SACHETS! Je sens les effets de la coke se manifester, des gouttes de sueur perlent à mon front. Les gens autour de moi me regardent d'un air étrange, ils m'observent, me dévisagent. Ils vont le découvrir. Je vais aller en prison, NON! Pas la prison. Je me mets à crier de toutes mes forces en frappant sur les murs. Tout s'embrouille autour de moi et devient sombre.

Je me réveille, quatre policiers me transportent sur une civière. Je suis dehors et il y a des étoiles, elles bougent et dansent. Les portes s'ouvrent, puis il n'y a plus d'étoiles mais seulement un corridor sans fin. On tourne à droite, à gauche, à droite, ma tête tourne. On me dépose sur un lit. Arghhh! Une affreuse douleur à l'abdomen me rappelle ce que j'ai dans l'estomac. Des médecins m'entourent, je vois une énorme seringue : ils veulent mettre fin à mes jours! Je me lève et casse la gueule du médecin le plus près. Il me faut absolument sortir d'icitte. Comme par réflexe, je saute par la fenêtre... du deuxième étage.


Rendu en bas, je me suis sûrement cassé la cheville, mais je ne sens rien car je suis complètement stone. Je me sauve le plus loin possible. Je passe par plein de rues et de ruelles. Finalement, j'aboutis en face de chez moi par miracle. J'essaie de prendre ma clé, mais je n'ai plus de coordination et mes mains tremblent. J'ai réussi quant même. Il faut absolument que je me couche. En sueur, je tombe sur mon lit et je suis frappé de violents spasmes musculaires. J'ai compris, je suis en train de faire une overdose, enfin la délivrance de mon clavaire. Je ne sens plus rien, mes yeux se ferment.



GD

mardi 8 octobre 2013



Le poème 44 était la fin d'un bloc. Ce bloc coïncide presque à mon retour de mon voyage de l'Europe. Une période très prolifique d'écriture. J'essai de ne pas trop ralentir la cadence. J'écris encore. D'autres poèmes sont déjà écrit et attendre impatiemment dans mon livre.  C'est à suivre...

J'ai ralenti un peu l'écriture de poème. Par contre, j'ai travaillé sur une nouvelle que j'avais commencé le 10 mars 1999. Pour l'instant elle s'appelle Ecotopinc. Je suis rendu à une vingtaine de page. J'espère continuer jusqu'à 50 pages. C'est à suivre...

J'ai trouvé un autre livre noir où j'avais écrit des paroles de musique.  J'ai trouvé de très beau texte. C'est à suivre...

Donc en conclusion, je continu et c'est à suivre...



44-une bouteille à la mer-v2

20AU2013

Encore un ostie de poème de marde. J'espère que c'est dans les derniers.



Une bouteille à la mer


Voici un dernier message.
Une bouteille à la mer.
Un message qui ne trouvera sûrement pas de preneur.
Un message envoyé à la mers, sans chance.

Une bouteille à la mer.
Pour te dire que je ne suis plus le même homme.
Des fils se sont touchés.
Des disjoncteur ont sauté.
Je ne serais plus jamais le même homme.

J’envoie ce message.
Une bouteille à la mer.
Pour te dire que je t'aime encore.
Je suis sûrement maso,
car tu me fais tant souffrir.
Je peux t'attendre des mois.
Au moins, un mois par année passé ensemble.
J'en ai pour des années avant de t’oublier.
N'attend pas trop.

Une bouteille à la mer est lancée.
Tout ce que je vis présentement.
Je veux le vivre avec toi

Une bouteille à la mer.
Tout ce que je fais avec mes enfants.
Je veux le vivre avec toi.

Une bouteille à la mer.
Tout ce que je vois.
Je veux le voir avec toi.

Une bouteille à la mer est lancée.
Afin de te rejoindre
Peu efficace,
peu de chance,
mais il y a une chance
que cette bouteille à la mer
te rejoindre et que son message te sois transmis.

Une bouteille à la mer est lancée.
C’est égarée.
Une bouteille à la mer,
c'est perdue en mer.



GD
43-je suis un homme qui-v2

09AU2013

J'ai commencé à écrire une chanson. J'ai aussi une parti de la musique de faite.


Je suis un homme qui...
Je suis un homme qui doit tout oublier
tout recommencer.

Tout oublier, tout recommencer..
Tout oublier, tout recommencer.

Dans mon cœur, dans ma tête, dans mon âme
dans ma vie.

Tout oublier, tout recommencer.
Tout oublier, tout recommencer.

Une nouvelle vie,
Une nouvelle femme,
Une nouvelle maison.
Un autre job.

mais je ne veux pas de cette vie.
Je veux ma vie.
Celle que j'ai choisi.
Celle que j'ai construite.
Celle que j'ai perdu.
Celle que je vois dans mes rêves.

Je veux ma vie
Je veux ma vie

Mais je dois
Tout oublier, tout recommencer
Tout oublier, tout recommencer

Dans mon cœur, dans ma tête, dans mon âme
dans ma vie.


GD


Avec accord :

A C A G A
Je suis un homme qui doit tout oublier tout recommencer.
C A G A
Tout oublier, tout recommencer..
Tout oublier, tout recommencer.

E E E E A
Dans mon cœur, dans ma tête, dans mon âme dans ma vie.

Tout oublier, tout recommencer.
Tout oublier, tout recommencer.

C
Une nouvelle vie,
G
Une nouvelle femme,
A
Une nouvelle maison.
C
Un autre job.
G
un autre auto

A
mais je ne veux pas de cette vie.
C
Je veux ma vie.
G
Celle que j'ai choisi.
A
Celle que j'ai construite.
C
Celle que j'ai perdu.
G
Celle que je vois dans mes rêves.

A
Je veux ma vie
A
Je veux ma vie

Mais je dois
Tout oublier, tout recommencer
Tout oublier, tout recommencer

Dans mon cœur, dans ma tête, dans mon âme

dans ma vie.
42-question d'échelle-v2

02AU2013

C'est une vielle hypothèse, une réflexion sur l'univers que j'avais eu en 1994. Le 05 octobre 2013, j'ai rencontré un vieil ami et il avait presque la même hypothèse. L'idée est simple et assez répandu. Les atomes et le système planétaire on une grande ressemblance, alors un système planétaire=un atome Mon hypothèse est semblable, mais c'est plus une galaxie= un atome. Mon hypothèse mathématique est basé sur la vitesse de la lumière. L'atteinte de cette vitesse implique une masse infini (grande énergie), un ralentissement du temps, une contraction de l'espace (rapetissement). Selon moi, l'atteinte de la vitesse de la lumière (positive ou négative) entraîne un saut vers un autre échelle. Par exemple, accélère une galaxie à +1 vitesse de la lumière et elle se transforme en atome. Réduit à -1 la vitesse de la lumière et un atome devient galaxie.
C'est pas vraiment clair et c'est sûrement pas vrai, mais c'est une hypothèse que j'ai.

Question d'échelle

Atome, galaxie.
Cellule, univers.
C’est du pareil au même.
Question d'échelle.

C’est mon hypothèse.
C'est ma théorie.
Question d'échelle.
Question de vitesse.
C’est relatif.

L'échelle, c'est la vitesse de la lumière.
Distorsion de l'espace.
Distorsion du temps.
Distorsion de la masse.
C'est relatif.
C'est Einstein.

Le passage d'un à l'autre est possible.
Question de vitesse.
Question de niveau.
Question d'énergie.
Plus c'est petit,
plus c'est énergique.
Vive Albert.

L'atteinte de cette vitesse
implique une masse infinie,
une énergie astronomique.
Que ce passe t-il à cette vitesse?
Passage de niveau
Chute d'échelle.
Atomisation.

L'atteinte de cette vitesse
fige le temps,
fige le mouvement.
Tout tourne lentement,
comme une galaxie.
C'est relatif.

Cercle sans fin
vers l'infiniment petit,
vers l'infiniment grand.
C'est l'univers.
C'est Dieu.





GD


Il y a 20 ans déjà, j'avais tenté d'expliquer ma théorie. J'avais 18 ans. Voici le texte que j'avais écrit. Je ne l'ai pas travaillé. Alors...

12 janvier 1994.

Le texte qui suit tentera d'expliquer une théorie que j'ai sur l'univers. Depuis quelques temps je ne cesse de penser pour améliorer cette théorie.

Essayons de l'énoncer clairement :

Toute matière est composée de particule toujours plus petite. Ce qui vient à dire qu'il existe une infiniment petit et du fait même un infiniment grand.

À l’aide d'exemple, je vais tenter de vous expliquer. Nous, être humain, nous sommes composés de cellules vivantes qui ont plus ou moins une forme sphérique. Toutes ces cellules sont à leur tour composé d'atomes (sphère). Si on se plaçait sur une atome la vu qu'on aurait serait assez semblable à notre condition réel. C'est-à-dire on pourrait se croire dans une galaxie. C'est à ce point que je veux en venir. L'univers est composé d'un cycle infini. Dans une goutte d'eau, il peut avoir des millions de galaxie miniaturisé

a) Dimension (écrit le 23 mars 1994)

Suite à ma théorie de l'univers, une idée mais venu. Il est possible de changer de niveau, c'est-à-dire de passer de notre état actuel (être sur une planète) à un niveau inférieur (être un atome) ou supérieur. Ce changement de niveau se fait en acquérant une certaine quantité d'énergie. Cette énergie implique une augmentation de la vitesse. La théorie de la relativité énonce que plus la vitesse augment plus le corps rapetisse. Imaginons qu'on puisse aller à la vitesse de la lumière ou presque. Notre corps sera extrêmement petit. Si on réussi à aller à la vitesse de la lumière on saute de niveau et on se retrouve à la grosseur d'un atome.

Le changement inverse est aussi vrai. C'est-à-dire que si on perd de la vitesse (énergie) jusqu'à celle de la lumière on grossirait jusqu'à devenir une galaxie. (niveau supérieur)
Cette perte de vitesse peut paraître étrange, mais elle peut s’expliquer par la relativité. Selon la relativité la vitesse (système de coordonné) est relatif à chaque personne. On ne peut savoir si c’est la terre qui tourne ou si c’est tout l'univers qui tourne. Alors, il se peut très bien qu'en se moment nous voyagions à la vitesse de la lumière sans s'en rendre conte.

Cependant cette hypothèse a un problème. La relativité dit que la masse augmente avec la vitesse. Cette affirmation est tout le contraire de mon hypothèse. En effet, lorsqu'on passe à un niveau inférieur notre masse devient presque égal à zéro, mais mon hypothèse n'est pas encore perdu. Il peut y avoir transformation de la masse en énergie (E=MC2) qui compenserait cette augmentation de la masse avec la vitesse.

niveau n = n X C (vitesse de la lumière)

Cette formule peut incorporer une constante quelconque.

b) vitesse

Si l'on voyage à une vitesse élevée le temps est allongé. Si on voyage à la vitesse de la lumière le temps est figé. Alors si notre planète voyage presque à la vitesse de la lumière, il est normal que nous voyons toutes les planètes voyager très tranquillement. À cause du temps qui est allongé

Un atome a des électrons, alors si on se trouvait sur un électron nous verrions les autres électrons exactement comme on voit les planètes c’est-à-dire il se déplacerait lentement dans le ciel.




41-ville gauchière-v2

28JL2013

J'ai voyagé à pied toute la journée a travers Londres. Je suis prêt pour un petit texte sur la ville.



Ville gauchère

Ici tout est à l'envers.
Surtout les automobiles.
Volant à gauche.
Circulation à gauche.

Je suis mélangé.
Je ne sais pas où regarder.
Mais je ne suis pas seul.
Car, c'est écrit au sol.

J'ai marché énormément dans cette ville.
Des kilomètres et des miles.
Et oui, ici c'est des miles.
J'ai marché et j'ai vu.

Monument historique.
Icône mondial.
Palais Royale.

C'est ce que j'ai vu.
C'est ce que je vois.

J'ai vu les autobus à deux étages.
J'ai vu les taxis à gauche.
J'ai vu le pont aux tours.
J'ai vu le Big ben.
J'ai vu le parc royal.
J'ai vu les cabines rouges.

Ici, ce n’est pas l’Europe,
c'est la livre sterling.
Ici, l'automobile est maître.
Comme en Amérique,
l'automobile à priorité.
Hiérarchie gagné par la voiture.
Contrairement à l'Europe.
Ici, pas de civisme piétonnier.

Rien remarqué architecturalement.
C'est hétérogène.
Pas de style.
C'est sur qu'il y de l'histoire.
Mais pas homogène.
Rien de flagrant.

Différente culture.
Un geste pour arrêter les autobus.
Différente culture.
Une royauté omniprésente.



GD
40-les jeunes madames-v2

27JL2013

Ceci c'est plus une critique gratuite. Durant mon voyage, j'observais le monde. J'avais juste ça à faire. Il y avait plein de fille de 20 à 35 ans qui était des madames.

Les jeunes madames

Quel âge on les madames?
Je me le demande.
Certaines doivent être assez jeune.
Je n'aime pas les jeunes madames.

Vêtements fleuris.
Décolleté exagéré.
Cheveux crêpé ou court.
Souliers chiques.
Maquillage épais.

Il y a aussi eux avec
de grandes bottes,
des sacoches de luxe,
des grosses lunettes de soleil,
qui magasine dans les boutiques de marque.

C'est pas beau,
C'est pas vrai.
C'est artificiel
Victoire de la consommation.

Je ne sais pas comment les décrire.
Mais ils ont un style.
Je n'aime pas.
C'est mal vieillir ou vieillir avant son age.




GD
39-je suis-v2


27JL2013



Je suis

Je suis une bonne personne.
Les gens me le disent.
Je suis sociale, joviale.
Je suis optimiste.
Je suis créatif.
C’est mes plus belles qualités
Je pense.

Je suis une bonne personne.
J'ai de bonnes valeurs.
Je suis honnête.
Je suis loyale.
Je suis vrai.
C'est d'autres qualités.
Je pense.

Évidemment, j'ai des défauts.
Personne n'est parfait.
Il faut l'équilibre.
Mais, il faut rester positif.
Je suis logique.
Je suis anti goût.
Je suis écologiste.
Drôle de défaut, mais réel.
Cause de bien des malheurs.

La liste peut s’allonger.
Je suis sédentaire.
Je suis non excessif.
Je suis stable.
Encore de drôle de défaut.

Il faut l’équilibre,
mais globalement,
je suis une bonne personne.
Je le sais.




GD