vendredi 27 septembre 2013

38-Dans un bar-v2

27Jl2013



Dans un bar

Dans un bar.
Des homes, des femmes.
Dans un bar.
Du bruit, de la bière.
Dans un bar.
Des cris, des discutions.

Beaucoup d'action.
Beaucoup de parole futile.
Beaucoup d’interaction humaine.

Il y a de la cruise.
L'homme se pavane.
La femme regarde.
Sans jamais choisir.

Beaucoup d'énergie perdu.
De fausse illusion.
De faux espoir.
Faible taux de réussite.

Pour les amis,
c’est bruyant.
Ça coûte cher.
Rien à faire.

Alors pourquoi un bar?
Je ne pause la question.
Je n'ai pas de réponse.
C’est peu utile.
C'est inutile.



GD
37-Biomécanique-v3


27JL2013


Le groupe Obliveon on fait une chanson avec le titre biomécanique et les paroles se ressemble un peu.


Biomécanique

C'est mécanique.
C'est biologique.
C’est biomécanique.

Combinaison de deux mondes.
Amalgame malsain.
Enchevêtrement de tissus et de métal.
Qui forme un être, un tout.

C’est biomécanique.

D'un aspect repoussant, gluant.
Il est merveilleux.
Il est supérieur.

C’est biomécanique

Haute voltige scientifique.
Il a passé des heures en laboratoire.
En incubateur, au soins intensif.
Il est vivant.

C'est biomécanique.

Succession d'hormone, d'apport nutritif.
Glucose, vitamine, acide aminé, facteur de croissance.
Il se développe, grandi.
Il est fragile.
Cette chimère est anormale.

C'est biomécanique.

La vie pénètre la machine.
La cellule utilise se quelle trouve.
Influx électrique dans une solution saline.
Régulateur osmotique.
Il y a réaction biochimique.
Réaction à un stimulus.

C’est biomécanique.

Qu’est ce que la vie.
C'est une réaction à l'extérieur.
Une réponse à un changement.
Un changement d'état.
On/off est l'expression la plus simple.

C'est biomécanique.

Il bouge, succession de réaction.
Réaction chimique du à l’ouverture des transports membranaires.
Changement de conformation.
Changement de fonction.

C’est biomécanique.

Cela peut-être dangereux.
Cette force, cette capacité.
Il faut la contrôler,
car elle nous est supérieure.
Leur capacité physique est illimitée.

Attention c'est une grenouille biomécanique!



GD







voici les paroles de Obliveon. Un groupe de métal du Québec

Album: Cybervoid
Biomecanique
Biomecanique
Biomecanique
A.d.n electronique, sperme digitalise
Ils ont decouvert comment se feconder
Nous les avons crees mais ils veulent nous detruire
Ils se sont multiplies, ils veulent nous envahir
Machines organiques, concues de metal et de chair
Experiences genetiques que nous devront payer tres cher
Ils se sont programmes pour nous dominer
Nous devrons nous surpasser, pour les neutraliser
Terreur biomecanique
Terreur biomecanique
Les differences et divergences de nos valeurs
etaient-elles si importantes?
Unissons-nous pour faire face a cette erreur
d'une science trop demente
Dangeureuses actions d'une race electro-animale
Leurs impulsions destructives, viennent d'un cerveau central
Nous les avons crees mais ils veulent nous detruire
Ils se sont multiplies, ils veulent nous envahir
Biomecanique
Terreur biomecanique
Our different views, our internecine hate
All that is now a non-sense
Let's unite, we must conciliate
and face that mistake of science
Biomecanique
Biomecanique

mardi 24 septembre 2013

36-Le lancé de la main tranchée-v2


27JL2013

Ce texte fait partie de la série sur les villes visitées. Celle (nom du propriétaire de la ferme) me fait visiter Antwerpen (Anvers) avec commentaires et anecdotes.

Le lancé de la main tranchée

J'habite la région depuis un mois.
Mais je ne suis jamais aller voir
cette ville, ce port, cette histoire.
Et pourtant, que d’anecdote pour moi.

J'apprends, je comprends, j'absorbe.
Ces faits qui on construit cette ville.
J'ai un guide, un ami, qui est volubile.
Ces explications sont drôles et cocasses.

Il m'explique un mythe sur son origine.
Il y avait une taxe, un droit de passage maritime.
Son oubli, une main en moins.
Lourde conséquence comme coutume.

Antwenpen, Anvers, Anverse.
J'apprends deux nouveaux mots.
Ant, c’est une main.
Werpen, c'est lancer.

J'apprends, je comprends, j'absorbe
Mon vocabulaire s’enrichit.
Ma connaissance s'amplifie

D'autre fait sur cette ville.
Ils sont nombreux.
Caberdouche, abattoir, bourreau,
tableau de l'église en feu...

C’est riche.
C’est intéressant
J'aime, je suis féru.



GD
35-Pas très bien-v2

27JL2013

J'étais pas particulièrement en grande forme quant j'ai écris cela. Cela fait parti des hauts et des bas du voyage.



Pas très bien

C’est pas la forme.
C'est pas l’enthousiasme.
Aujourd'hui.

J'ai pas la force.
J'ai pas de courage.
Aujourd'hui.

Je suis à Londres.
Ce n'est pas merveilleux.
Et pour tant!

Je suis fatigué.
Les efforts m'épuisent.
Les efforts me répugnent.

Je veux du confort.
Je veux retourner.
Je suis prêt.

Je n'ai plus l'énergie.
L'énergie initiale.
La force de rencontrer.
D'affronter l'inconnu.

C'est dans ces moments de faiblesse,
que le passé me hante, m'accable.

Je connais une solution.
Il faut boire.
Faire la fête.

Deux bière d'englouti.
Je regarde mes barrières s'abaisser.
Je suis prêt.

Un autre grosse bière
et je suis parti.
C'est proche.

Je dois profiter de chaque instant.
Profiter de Londres
cette ville légendaire.

Mais ma tête est fragile.
Je ne vais pas très bien.
Beaucoup de mauvaises images, de mauvaises visions
de mon passé, de ma réalité.

J'ai un bas.
Je dois remonter la pente.
Je dois avoir un haut.
Pour avoir un beau voyage.
Un repos mental.
Un meilleur avenir.




GD
34-Ville moderne, ville reconstruite-v2

25JL2013

Ce texte fait partie de la série sur les villes visitées. J'ai fait une halte à Rotterdam de 3 heures. J'étais en vélo.
C'était une correspondance entre Amsterdam et Anvers

Ville moderne, ville reconstruite

C'est différent.
C’est moderne.
C’est en construction.

Une ville maritime.
Une ville en hauteur.
Une ville en auto.

Il y a eu la guerre.
Il y a eu destruction.
Il y a eu reconstruction.

Ici c’est la métropole.
Ici c'est portuaire.
Ici c'est la plage?

Une escale de 3 heures.
Une promenade en vélo.
Une correspondance vers Anvers.



GD

33-Air maritime-v2

20JL2013



J'ai fumé il y a environ 2 heures, alors je ne garantie pas ce que je vais écrire. Je suis qu'en même à Amsterdam ;-)
Je suis sur le haut d'une espèce de faux bateau échoué. Ce qui m'entoure c’est le port.
J'ai essayé de compter les pas. Cela tourne autour de 8. J'ai fait aussi des rimes.

Air maritime

Qu'est-ce qu'il y a dans un port?
Beaucoup de bateaux à tribord.
Encore des bateaux à bâbord
Il n'y a que ça aux abords.

Par un temps nuageux,
il n'y a rien de dangereux.
Il n'y a que des gens heureux.
Qui profite de ce bonheur.

Au loin, le bruit de la ville.
Une conséquences civile.
Cette équilibre qui vacille.
Cette équilibre qui défile.

Harmonie entre deux mondes.
La ville comme une façade.
L'océan comme arrière cadre.
Deux dimensions, comme un bar code.

Pas loin d'une autre réalité.
Une rivière, un canal.
C’est calme, une égalité.
Une dame, signe banal.

Beaucoup de chose se mélange.
Le calme résidentiel.
Le clapotis des vagues.
Le tourisme tangentiel.

Le charme de cette rue.
Le charme de cette ville
Le charme m'est apparue
C'est un réveil, c'est un merveille



GD
29-À travers la brume-v2

20 JL 2013

Ce texte fait partie de la série sur les villes visitées. Je suis à Amsterdam depuis hier. Je suis assis à une grande place (Dam)

À travers la brume

À travers la brume, il y aune ville.
L'attrait touristique, c'est d'la brume
Le trait d'union, c'est un coffee shop.

Le jour, il y a des touristes, comme moi.
La nuit, il y a des touristes, comme moi.

Ici pas de crépi.
Rien à cacher.
Ici, il y a des vitrines.
Tout à montrer.

Drôle de laxisme.
Légalité générale,
mais contrôle de l'alcool publique.
Le contraire de l'Europe.

À travers la brume, il y a de l'eau.
Ville portuaire
encerclée par des canaux,
par des cercles concentriques.
Cette eau est vivante.
Il y a des bateaux, des canots
et même des maisons.
Les ponts se lèvent et descendent.
C'est selon la demande.

À travers la brume, il y a des vélos.
De vieux vélos accrochés partout.
Un par dessus l'autre.
Ils sont vieux mais utile et rapide.
J'ai compris pourquoi.
80 000 vols de vélos par année.

À travers la brume, il y a des crochets.
Crochets aux maisons.
Pourquoi faire?
Pour déménager.. Peut-être?

Ici tout se consume.
Tout pars en fumé.



GD
28-Route in, route out-v2

14JL2013


Texte sur la routine == route in


Route in, route out

Elle gagne souvent.
Il faut la combattre sans arrêt.
Cette chose est pernicieuse.
Elle agit lentement, mais sûrement.
Elle s'installe, s'immisce dans la vie de tous les jours.
Elle s'amplifie jusqu'à nous engloutir pour la vie.
Elle gagne toujours.

Quel est cet ennemi juré?
Cet ennemi de la vie.
Route in.
C'est la routine.
Une route vers l'intérieur,
qui nous plonge vers la facilité, vers l'inertie.
Cette route est naturelle, rassurante.
Notre humanité nous pousse vers elle.
Pour nous sécuriser, nous rassurer, nous stabiliser.

Que peut-on faire?
Route out.
Une route vers l'extérieure.
Vers le monde, l'exploration.
Toujours en mouvement, elle se défile.
Elle est en mouvement.
Cette route est source de stress.
Perte de contrôle de notre vie.
Mais qu'elle est plaisante et enrichissante.

Nous en avons besoin,
c'est viscéral.
Mais la routine gagne majoritairement.
Combat d'une vie.
Combat à finir, un jour ou l'autre.

Route in, route out.
Route in, route out.
Route in, route out.




GD
27-Lettre aux enfants-v2

13JL2013

ouff.. Il est dur celui-là. J'ai failli ne pas le publier, mais il est bon, il est fort. Il fait parti de mon œuvre, désolé.

Lettre aux enfants

Bonjour les enfants,
Je vous écris,
car je vous aime.

Je suis parti pour me reconstruire.
Pour continuer d'être votre papa.
Un bon papa.

C'est dur, c'est compliqué
pour vous, pour moi.
Vous comprenez une partie.
Vous voyez le changement.
Cela ne sera plus jamais pareil.

Famille désunie.
Famille éclatée.
Nouvelle réalité.

J'ai échoué.
Je suis un bon père,
mais un mauvais mari.
J'aurais aimé continuer,
me renouveler et devenir meilleur.
Pour vous, pour elle, pour votre mère.
J'aurais aimé une seconde chance.

C'est compliqué.
C'est l'amour, c'est la haine.
Drôles d'émotions,
qui peuvent se superposer.

Je vais revenir plus fort.
Je vais revenir pour vous.
Je vais être changé.
Quelque chose de nouveau.
Une nouvelle énergie.
Une nouvelle vie.

Cela ne sera plus jamais pareil.
Cela ne sera plus jamais aussi beau.
Toujours compliqué, toujours humain.
D'autres personnes vont se rajouter.
Mélanger le tout.
C'est déjà commencé.

Moi aussi, je ne resterai par seul.
Je ne veux pas être seul.
Je vous ai, mais j'ai besoin d'une elle.
Pour me motiver, pour me donner un objectif.
Pour vouloir recommencer, me rebâtir.
Car seul, je n'ai besoin de rien.
Pas de maison, pas d'argent.
Juste manger et dormir.
Car seul, je suis un homme libre,
sans contrainte, sans ambition.

Je veux aider mes amis.
Je veux faire du bien autour de moi.
Je veux m’occuper de vous.

Cela ne sera plus jamais pareil.
Je ne peux habiter près de chez nous (de chez vous)
Trop de conflit, trop d'émotion.
Je ne peux plus travailler à la grange.
Trop de souvenir, trop de sacrifice.

Je dois parti plus loin.
Plus loin de vous.
Les conséquences seront énormes.
Je ne vais presque plus vous voir.
Malheur scolaire.

Ne m’oublier pas.
Continuer de m'aimer.

Cela ne sera plus jamais pareil.
Il faut se réorganiser.
Être fort.
Lorsque je serai avec vous.
On va s'aimer.
On va s'amuser.
Je veux consacrer ce peu de temps à vous.
Uniquement à vous.
Mais je ne vais pas vous gâter.
Je suis plus rigide, moins gâteau.

Cela ne sera plus jamais pareil.
Essayons d'être heureux qu'en même.



GD
26-C'est grandiose-v2

13 Juillet 2013

Fait parti de la série de texte sur les villes visitées. Je suis à Berlin.

C'est Grandiose :

C'est grand.
C'est immense.
C'est puissant.
Je pense que c'est l'effet recherché.

Un peuple, une capitale forte.
Mémoire d'une longue tradition.
Il la cultive, l'entretiennent
pour maintenir cette force intrinsèque

Tout est vaste.
Effet de grandeur.
Effet de richesse.

De grande allée, accompagné d'immense édifice.
Une architecture épurée, mais élégante.
Qui crée cette effet, cette beauté.

Ville en mouvement,
Vielle en croissance,
Ville en en maintenance perpétuelle.

Deux centre-villes,
Cause d'une union de l'ouest et de l'est.
Séparation historique de deux mentalités opposées.
Capitaliste pure.
Communiste rigide.

L'un à gagné et a avalé l'autre.
On détruit même d'ancien vestige pour en construire de plus anciens.
Dépense inutile ou signe de victoire?

Cette ville est vivante.
Elle renaît d'un lourd passé.
Efface les traces des balles.
Mais conserve la mémoire.
Pour ne plus recommencer, pour s'excuser.

Cette ville est vaste.
Signe de sa prospérité
Cette ville est historique.
Signe de sa réussite.



GD
25-wwoofer-v2

11JL2013

WWOOF = Wide world opportunity organic farm.
En bref, tu travail dans une ferme biologique contre le gîte et de la nourriture.

wwoofer

Cette petite surface est bien optimisé
Carottes, salades, poireaux sont en rangés.
Plusieurs personne viennent récolter.
Le jour, le soir, les fin de semaines, l’été.
Ils viennent un par un, pendant la journée.
Prendre leurs légumes et creuser.
Par pure plaisir de participer.
Ils jouent dans la terre, jouant au fermiers.

La culture est simple, il faut désherber.
Encore et encore désherber.
Pendant la saison, il faut replanter.
Suivre un horaire pour pouvoir cultivé.
Il faut aussi un tracteur et un âne. Il faut aussi wwoofer.

Ce dernier, fait parti du succès, c’est la clé.
La pierre angulaire qui est exploitée.
Pour un mois, pour un été nous venons travailler.
Gratuitement nous venons découvrir une autre réalité.
Différent objectif, différente réalité.

Certain sont sans créativité.
D'autre, comme moi, plus motivé.
Nous apportons notre contribution, notre liberté.
J'aime beaucoup, je suis ici pour m'émanciper.
Me transformer pour repartir amélioré.
Je ne veux pas être enterré.
Je veux survivre, je veux sauté.
Mordre dans la vie que m'offre cette opportunité.

Il faut wwoofer.
Il faut faire du wwoofing.
Il faut l'intégrer dans ma société (Québec).




GD
24-Ragazza italiana-v2

06JL2013

J'arrive de Gent. J'y ai rencontré une belle fille. Une Italienne, Je vais lui écrire un poème.
Je vais faire une tentative de poème en anglais. C'est une première. J'ai parlé en anglais toute la fin de semaine, alors pourquoi pas écrire.


Ragazza italiana

When I rest, on the center of anywhere.
I saw a girl, a women.
An beautiful women.
I saw these shoes.. they are brown.
I saw his jeans... it is brown.
I saw all these clothes... is fitting.
I like it.

But it finish, she gone.
I will probably never meet again.
but you come back, again.

I saw you .
I saw you again.
but this time, I follow you.

you walk,
you took pictures,
you go anywhere like an tourist.
you are a tourist.
Definitely.

Finaly you sit near my hostel,
and you start to draw.
I'm observe you.
I'm on the other side.

What can I do?
If I do nothing, nothing happens.
What can I do?
With incredible energy.
I talk to you!
Do you speak french?
Is my first question.
A fatal question.
but with my approximate english I continue.

I'm happy, we communicate.
I'm happy, you are a beautiful girl.
I'm happy, is almost a love at first sight.

After one beer you leave me.
You leave me alone in this city.
But you give me your email.
A way to meet you again.

The same day I have a rendez-vous.
Walk and talk in one park.
But you leave me again.
For a long periode this time.

If you are too alone.
Write me.
Write me a email.
I'm a motivates man.
I will appear just like a genius in the lamp.



GD


lundi 23 septembre 2013

23-Gent-v2

06JL2013

Durant mon voyage en Europe. J'ai essayé d'écrire un poème sur chaque ville visité. Celui de Gent est le premier. La journée avant j'étais à Bruges, mais j'ai eu moins de plaisir.


Gent

Je suis sur le bord de l'eau.
Comme à Venise, il y a des bateaux.
Je suis assis à coté d'une filles, c'est beau!

Tout ce que je vois est historique.
Chaque bâtiment est photographique.
Il faut donc choisir, c'est logique.

Le soleil est ardent.
La place est rempli de gens.
Je regarde, j'observe les passants.
Des couples, des tourisme, moi.
J'ai du plaisir à regarder ce que je vois.
La journée est belle, je touche du bois.

J'aime bien cette ville.
Moins touristique, moins vil.
Plus vrai, plus civil.

Est-ce le samedi?
Est-ce le vendredi?
Qui change les city.

Plein d'action, plein de rencontre.
Il ne faut pas être contre.



GD
22-Les cars go-v2

06JL2013

J'ai visité une escargotière près de Namur en Belgique.



Les cars go!

Drôle d'organisme
qui rampe et qui glisse.
Être visqueux, être mou.

D'une lenteur exemplaire.
Sa vie est relaxe et belle.

Il transporte sa maison.
À tous moment, il peut se cacher,
se protéger, se reposer.
Maison mobile toute équipée.

Il mange toute verdure qu'il trouve.
Machine à bouffer.
Il dévore, il endommage les cultures.

Leurs transparences me fascine, m'intrique.
Leurs antennes rétractables m'émerveille.
Je pourrais les regarder se déplacer pendant des heures.

J'ai vu, j'ai vu leur culture.
C'est simple et peu coûteux.
Pourquoi pas!
Heliciculteur.
Escargotier.



GD
20-I lose mon français-v2

01JL2013


Un essai anglais/français... bof c'est un essai. Dans mon voyage, j'ai du parler souvent en anglais, mais je suis vraiment pas bon. Il met arrivé de répondre en anglais à des français.


I lose mon français

Le français n'est pas fréquent.
Plein de langue se mélange durant mon voyage.
Seul une langue nous réuni

Speak White
Speak english
Universal language
Mondial language

Depuis vendredi, ce n’est qu'anglais.
Le brésilien parle anglais.
Le portugais parle anglais.
Au festival, ça parle anglais.

Je suis entouré d’anglais.
Comme chez nous.
Seul différence, je veux communiquer.
Entrer en contact avec d'autre.

Je me débrouille, je m'upgrade.
In my head, je suis mélangé.
In my head, je parle anglais.
L'immersion est une solution, in my head.
Only way d'apprendre.
Apprendre rapidement, rapidly.
I know the words, il faut juste les dire.
Un automatisme I developed.

Mixed, mélangé, mixed, mélangé.
Il me comprend, I undestand him.
Is not perfect, mais c'est compréhensible.

L'anglais, langue de communication.
Elle permet de rencontrer d'autre culture, d'autre peuple
Elle ouvre les portes du monde.
The world is open to me.




GD
19-Banlieue spick and span-v2

24 juin 2013


Je suis en vélo et je viens d'arriver en Europe. Je me déplace vers la ferme. 40 km à faire. Je parcours la banlieue entre Bruxelles et Antwerpen.

Banlieue spick and span

Je roule vers ma destination.
J'observe les constructions.
Je suis en banlieue, intuition.
Ici, toute est propre dans toute les directions

De belle construction en brique.
De belle maison typique.
De beau terrain bucolique.
Tout est parfait, idyllique.

Est-ce Anvers ou simplement généralisé.
Coté saxon d'une grande rigidité.
Contre coté latin déjanté.
Je ne sais pas, il faudrait vérifier.

Est-ce mondial ce coté aseptique?
Au moins, ici c’est bien fait, en brique.
Chez nous, c'est cheap, c'est plastique.
Mais l'un ou l'autre c'est abiotique.



GD
18-Train train quotidien-v2


24 Juin 2013

Nous en Amérique nous n'avons pas de système de train aussi développé, nous avons l'automobile. Elle est omniprésente. Pour moi, l'automobile n'est pas un bon choix de société.


Train train quotidien

C'est un moyen de transport.
Un moyen de déplacement quotidien.
Il file à travers les villes.
Sans se défiler.

Réseau tentaculaire qui a envahis la terre.
Cette terre, qui est l’Europe.
Pour moi, étranger à ce monde, c'est déroutant.
Pour eux, habitant, c'est quotidien.

Tranquillement, mais sûrement,
il se déplace, il parcours les distances.
Retiré du réseau routier.
Il est un maître sur rail.

Ponctualité exemplaire,
Il n'est pas dans le stress.
Stress incessant de l'automobile.
Pas de klaxon, d’impolitesse, d'accident, de rage au volant.

Nous parcourons les distances, tranquillement, mais sûrement.
Ma destination... l'aventure.
L'inconnu d'une nouvelle ville.
Que vais-je découvrir grâce au
train train quotidien?



GD

dimanche 22 septembre 2013

16-Envahissement humain-v2

25JN2013

Je travail dans une ferme biologique qui accueil des wwoofers et qui a aussi un bed and breakfest en même temps. Sur un banc à la ferme, la face au soleil, j'analyse leur mode de vie.

Envahissement humain

Je suis ici pour voir, pour comprendre.
Regarder ce qui se passe ailleurs.
Ce que je remarque, c'est l'envahissement humaine
Pas d'intimité, pas de solitude.
Seulement un aller et venu constant.

Le matin: les woofers, le B and B
Le midi : les woofers, les travailleurs
l'après-midi : les clients
Le souper : les woofers, le B and B
Le soir : tout le monde

Il y a toujours un étranger dans leur maison.
Peut-être que l'hiver?

Moi, je suis seul à l'intérieur, seul parmi les humaines.
Choc de culture, choc de mode de vie, choc d'état.
Ici, c'est la culture africaine.
Ils ont déjà habité la-bas, en communauté.
Nous c'est l'occident, l’individualisme, l'isolement.

Question de culture.
Question d'enseignement, de vie.
Est-ce mieux?
C'est différent, ça c'est sure.
À long terme, je me questionne sur leur vie de couple.
Un compromis entre l'envahissement et l'isolement.
Serait préférable.. Je crois.




GD

samedi 21 septembre 2013

15-L'esprit du métal-v2

21 JN 2013

En pensant au bar 'Rock classique' de Bruxelles.

L'esprit du métal

Énergie.
Énergie d'homme.
Énergie d'homme saoul.

Bruit.
Bruit lourd.
Bruit lourd de sens.

Rythme.
Rythme rapide.
Rythme rapidement décadent.

Parole.
Parole explicite.
Parole explicitement démoniaque.

Danse.
Danse violente.
Danse violente et douloureuse.

L'esprit du métal est enivrant.
Il permet de sortir le méchant.
Plonger dans ce rythme infernal, notre tête s'égare.
Se déconnecte.

You are disconnected.




GD
14-seul-v2

21 JN 2013

Seul

Quand je suis seul.
Je pense.
Je me morfond.
Je pense à mon échec.
Je ne dois pas être seul.
Je dois m’enivrer d'être.
La solitude m'exaspère.
Je suis ici pour oublier.
Pour ne pas penser à mon passé.

Aujourd'hui, je suis fatigué.
Mes mauvais souvenirs
franchissent mes barrières affaiblies.
Tantôt de nouvelle barrière vont apparaître.
Barrière alcoolique, barrière débilitante.

Je vais arrêter de penser.
Jusqu'à la prochaine fois.
Le plus loin possible.
De plus en plus loin.
Loin.
Loin.
Loin.






GD
13-Europe anarchique-v2

21 JN 2013

Encore à la Grande place à Bruxelles. Un endroit que j'aime et où tout peut arriver.


Europe Anarchique

Je suis un observateur qui observe.
Un être étranger à cette grandeur.
Avec mes yeux extérieurs,
je compare, je soupèse ce que je vois.

l'Europe est anarchique dans son cœur.
Complètement laissé à elle-même.
Tout n'est que désordre et rébellion, ici.

Mais dans le désordre, il y a un ordre .
Parfois caché,
parfois indirect.

Objet de Mandelbrot parfait.
Ce fractal d'une beauté
mathématique et humanoïde m'émerveille
Je la trouve belle cette Europe.

Je hais les lois, les règlements superficiels.
Ces normes de prudence qui embourbe notre système.
Il faut vivre et laisser vivre.
Arrêter de contrôler la vie.
La mort gagne toujours un jour ou l'autre.

L’Europe est anarchique dans son cœur.
Tout se mélange dans un cacophonie.
Auto,vélo,tramway, perso.
Amalgame complexe, mais fonctionnel.
C'est fou, mais ça marche.

Est-ce la Belgique, Bruxelles ou l'Europe?
Mais ici, c'est le bordel.
Se laisser aller, laisser place à l'humain.
C'est décontracte... à mon image.
C'est relaxe... ça me calme.



GD
voici quelques vieux textes (a,b,c,d,e,f).  Ils proviennent d'un livre brun que j'ai pris 20 ans à remplir. Le premier livre à pris 20 ans, mais le deuxième est déjà rendu à la moitié après seulement 6 mois. J'espère que cela sera exponentiel.


GD
F-Extrasterresstsre-v2

1996 4 avril 2eme version


Extrasterresstsre ou Extra-Stress


Ils sont parmi nous.
Dans la population, partout.
Ils nous manipule, nous mandibule.
Ils dirigent la masse,
en contrôlant le gouvernement et les militaires.
Nous simple mortel, sommes à leur merci.
Sans mot à dire,
il nous faut se résigner.

Leur forme physique est inconnu.
Mais on les dit mince et élancé.
Pourquoi nous on t-il conquit?

Soif de sang.
Soif de pouvoir.
Soif de nourriture.
Soif de sexe (reproduction).
Sûrement les quatre.

La supercherie a été logue et pernicieuse.
Leur mode d'action mieux organisé que ''V''.

Ils opèrent le soir.
À l’abri des regards noirs.
Ils nous empêchent de voir.
Pour nous cacher la clé du savoir.

Notre place en se bas monde est terminé.
Ils sont venu pour nous la prendre.
La faim (fin) est proche.
Car en plus, leur estomac est en manque.

(( dans une vieille recette extrasterresstsre

Il est dit : Faire cuire un homme à 350 degré Celsius pendant 2 heures
servir avec un coulis au citron.
Excellent,vous m'en direz des nouvelles.))

Et oui, ils sont Homme-nivore.
Comme nous, ils mangent leur bétail.
En bout de ligne,nous survivons
dans le seul but de nous faire manger,
mastiquer,
digérer,
absorber,
déshydrater,
puis
EXCRÉTÉ.





GD
E-Halle le colle-v2

1996 2eme version

Halle le colle

Destruction des barrières.
Inhibition du surmoi.
L'être en toi s'exprime, sans limite.
Une nouvelle personnalité émerge
des profondeurs de ton subconscient.
Sans réserve, il est indécent, mais joyeux
Cette être intérieur ne sort que sous l’effet d'inhibiteur.
Il désactive nos protections, nos peurs et nos remords

Il ne faut pas dépasser la borne.
Une surdose le transforme,
le surexprime,
pour prendre le dessus.
Ta conscience n'est plus.
Celle-ci est mise au rancart.
L’être devient maléfique.
Fou de rage, il se déchire.
Pour ne plus s'arrêter.

Il brise et souille tout sur son passage.
La résistance est inutile. La violence le guette.
Il peut être rejetée et devenir inactif.
Comme une colique, il doit gicler vers l'extérieur.

Certain en prennent goût.
Surpris par son contrôle.
Il disparaisse pour qu'il succède.
La gêne n'est pas son fort.
Il aime sortir.
Une fois corrompu,
tu n'existes plus.
Il existe.
Il existe.
Pour le reste de tes jours.
Jusqu'à ce que ton foie explose.
Cirhose.





GD
d-L'altére-O-phile-v1


1996 inachevé


L'altére-O-phile


Ce collectionneur de poids.
Aborde un ton austère
Fière de lui, il lève le bâton de la force.
Muscle sans cervelle.
L’athlète sourie de joie et de douleur.
Sa veine de chance est gonflé de rouge.
et s’esclaffe au yeux de tous.
Elle se montre fièrement au centre de son front.




GD
c-L'olive de l'olivier-v2

1999 29 avril.

J'ai travaillé dans une entreprise de transformation d'olive.
Ils avaient raté leur première batch et il fallait trier les bonnes olives des olives endommagées par le processus. J'étais une machine, je travaillais comme un bête. Après deux semaine de préavis avant de commencé ma job chez Draximage, ils m'ont dit que je pouvais revenir n'importe quant. Une belle expérience.



L'olive de l'olivier.

D'une rondeur irrégulière,
d'un vert douteux.
Elle roule et roule sur le bord du monde.
Sans cesse par millier, elle défile devant les yeux avertis du guetteur.
Elle se faufile à travers les entraves des dix gardiens manuels.

C'est l'olive de l'olivier.
Cette olive passée date passe les barricades.
C'est l'olive rebelle différente de ces consœurs.

Elle n'aime pas la symétrie, elle déteste l’uniformité.
Pourquoi cette rigidité, pourquoi cette exclusion.
Pour un public qui au fond s'en fou.
Pourquoi ce racisme envers les p'tits tâches noires.
Pourtant le jaune me va si bien.
C'est pour un contrôle de la qualité.
C'est pour une peur de l'asymétrie, de ce qui naturel.
Cette discrimination cache un mal.
Bien enfoui dans la paranoïa du genre humain.
Bien enfoui dans l’asepsie de la vie.

C'est l'olive de l'olivier.
C'est l'olive rebelle qui malgré les embûches passe toujours.
C'est l'olive de l'olivier source d'anarchie au sein de l'innocence d'une olive.

Qui décide de ce contrôle .
Quelle puissance manipule les ficelles.
Le futur de l'olivier dépend de l'olive.
Vive la diversité.
Vive la rébellion (que la force soit avec toi!).
Vive les secondes classes, source d'anarchie.




GD
b-Tuman-v2

1996 4 avril 2eme version


TUMAN (humain)


Quelque chose, quelque part,
Une voie lactée, une terre.
Habité par le mal incarné.
Cette être, un être diabolique, imbécile, excessif.

L'humain, la pire invention.
A tué par ces créations.
La source de ce mal, son intention.

Pouvoir, pouvoir inconscient.
Pouvoir, pouvoir exigent.

Il aime tous posséder,
surtout l'impossédable.
Pour l'avoir. Tasse-toi d'la.
Pilage, pollution, ''homocide''.

Cette espèce s'autodétruit.
Par simple plaisir de l’oisiveté,
on remet à plus tard.

Auto-destruction consciente.
Auto-destruction facile.

Il n'y a pas d'égal animal.
Sa voracité dépasse l'entendement.
Il veut posséder la terre à lui seul.
Pourquoi faire?
La dévorer.
La digérer.
Miam!


GD
a-À dieu-v2

1996 06 septembre

À dieu

À-t-on déjà vu dieu?
Simple énergie physique,
matière inanimée,
substance incongrue,
être supérieur.
Tout ces mots son synonyme.
Ils représentent un seul tout.
Un tout invariable et éternel.
À-t-on raison dit croire?
Sans retenu, sans raison, sans limite.
Hindouisme, bouddhisme, christianisme,
religisme ou crétinisme?

Lequel à raison?
lequel est vrai?
s'il y en a,
il y en a qu'un seul.

Sa croyance à dégénérer.
c'est transformé,
métamorphosé,
dilapidé.

Un choix à faire.
Croire ou ne pas y croire.
L'un ou l'autre.
Choix personnel.




GD

jeudi 19 septembre 2013

12-arrosage gastrique-v2

20 jn 2013

Évidement après une grosse soirée ;-)


Soirée arrosée ou arrosage gastrique

Tout commence tranquillement.
Une bière achetée innocemment
dans un dépanneur du coin.
Et qui remplit un besoin.

Chaque gorgée est assimilée avec soin.
Lentement, mais sûrement elle se vide.
L'alcool est transvidé dans notre panse vide.
Vierge d'intoxication, elle ne se doute de rien.
Mais elle devrait réagir pour son maintient.
Pour garder l'équilibre, si parfait, si fragile, de la biologie.

Une fois bien absorbé, notre cerveau réagit.
Une deuxième est consommée et finie.
L’effet est subtile, mais perceptible.
Notre corps aime, il en redemande, insatiable.
Par la suite, car il y a une suite.
Tout s'accélère, le décompte est en fuite.
Les paroles s’agglomère, les paroles défiles.
La cohésion de la pensée s'altère, s'enmèle.
Tout est plus beau, plus volubile.

L'alcool continu de couler à flot.
Tellement à flot, qu'il commence à avoir débordement.
Tout est imbibé, tout est inondé.
La raison, la retenu, l'intelligence.
Il ne reste qu'un air hébété.
Flot de parole idiote.

Nous sommes au point de non retour.
Il faut arrêter, il faut ralentir.
Mais c'est trop tard, le surmoi à perdu
Le ça est libre, déchaîné.

Ça entre et ça entre.
Encore et encore.
La tête est noyée, alcoolisée.
Tout s'embrouille
Tout se met à tourner.
C'est la fin de la soirée.
Il faut se coucher.

Mais avant, il faut s’hydrater .
Sinon c'est le mal de bloc assuré.
Cette fois je suis sauve et je repars .
Vie de débauche, vie de voyage.





GD
11-3 Belges-v2

19JN2013


Je viens de m’asseoir à la grande place à Bruxelles. Et Vlan! Trois belles filles belges m'assaillent.
Beau bonjour de la belgique;-)

3 Belges

Au centre de l'histoire,
je suis assis au centre.
Entouré d'architecture.

À l'instant de mon repos.
3 belges m'interpellent.
3 filles sur le party.
3 filles sympathiques.
3 dessins, c'est drôle.

De retour seul, j'écris.

200 ans d'histoire,
c'est peu pour eux.
Mais pour nous, c'est la moitié de notre vie.
Il y a de la vie en ce lieu.
Plein de monde, plein d'humain.

La jeunesse est partout.
L'art est leur futur.
En parlant avec eux, dichotomie.
Comme nous, ils ont deux langues.
Deux mondes qui cohabitent.
Deux monde qui s’entre-choc.
Comme nous c'est l'animosité entre peuple.

Salut les filles.
Vivez la vie.
comme un trip d’ecstasy
sur du Drum'n'bass.




GD
10-Arrivée en terre étrangère-v2

19jn2013

Je viens d'arriver à l'auberge de jeunesse de Bruxelle, il est environ 14:00 et la chambre n'est pas disponible avant 15:00. J'ai fait le voyage de l'aéroport avec mon vélo. Quelques difficultés à trouver l'auberge. J'ai mon gros sac-à-dos dans le dos et mon petit sac rouge sur mon guidon.

Arrivée en terre étrangère

Je roule et je déroule
dans cette cité inconnu.
Je roule et je me perd sans but.
Je vague et je divague sans raison.
Je ne sais pas où je vais, sans dessein.
L'instinct me guide vers la route à suivre.

Les guides sont des passants,
qui passe dans leur quotidien.
Je les dérange, ils apprécient.
Ils m'aident de leur mieux, j'apprécie.

Je regarde, j'explore avec mes yeux, avec mon cœur.
Je m'approche, je le sens.
Je sens une odeur de déjà vu.
Deux gars fument un joint au parc.

Bruxelles se réveil, le quotidien les appelle.
Moi, je n'ai pas de quotidien.
Je vis au jour le jour.
À la minute, à la seconde.
L'éternité des jours devant moi.

J'ai sommeil, manque de sommeil.
Imaginer la journée, la semaine, le mois.

Aller Hop, je remets ma maison sur mon dos.
J'enfourche mon vélo, GO!
Allons explorer cette nouvelle ville, ce nouveau continent.




GD